
Des recommandations, qui mettent d’accord pour la première fois en France l’ensemble des parties prenantes (ONG, syndicats de salariés, entreprises, pouvoirs publics, représentants de l’Etat,…), ont ainsi été formulées.
RSE, compétitivité et développement durable – l’enjeu des TPE/PME
Le groupe de travail traitant de la relation RSE, PME et compétitivité, a recommandé de mettre en avant l’accompagenment et le financement des démarches RSE, le rôle des parties prenantes, le lien entre RSE et compétitivité, les relations donneurs d'ordre publics/privés avec les fournisseurs, l'importance de la labellisation, le MEDDE promouvant le lancement d’une expérimentation de labellisation de démarches RSE sectorielles reconnues par l’État.
L’amélioration de la transparence et la gouvernance des entreprises en matière de développement durable en réponse aux attentes de la société et de la finance responsable tout en intégrant les évolutions normatives européennes et internationales
Le groupe consacré à l’amélioration de la transparence et de la gouvernance des entreprises a présenté plusieurs leviers d'amélioration des articles 225, 224 et 255 de la loi Grenelle II, relatifs respectivement à la transparence des entreprises, des investisseurs et des sociétés de gestion de portefeuille, et des collectivités locales.
Les implications de la responsabilité des entreprises sur leur chaîne de valeur (filiales et fournisseurs) telles que recommandées par les normes internationales.
Le groupe travaillant sur les implications de la responsabilité des entreprises sur leur chaîne de valeur a incité l’État et les entreprises à mettre en œuvre les recommandations des textes internationaux relatifs à la RSE. Il a proposé plusieurs actions pour améliorer la transparence en matière de démarche RSE au niveau international, grâce à un meilleur accès à l’information et une meilleure promotion de la RSE dans les accords commerciaux internationaux.